La biodiversité est confrontée à une perte croissante, souvent irréversible. Le rythme d’extinction des espèces s’est accéléré de 1 000 à 10 000 fois. Alain Chabrolle, vice-président à la santé et l’environnement, a lutté contre les pollutions, triplé la surface protégée en Rhône-Alpes et relié les zones naturelles entre elles par des couloirs de vie.
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[cmsms_image align= »center » animation_delay= »0″]1472|https://bilan-rhonealpes.eelv.fr/files/2015/03/dessinbiodiv2150.jpg|full[/cmsms_image][/cmsms_column][/cmsms_row][cmsms_row data_width= »boxed » data_padding_left= »3″ data_padding_right= »3″ data_color= »default » data_bg_color= »#ffffff » data_bg_position= »top center » data_bg_repeat= »no-repeat » data_bg_attachment= »scroll » data_bg_size= »cover » data_bg_parallax_ratio= »0.5″ data_color_overlay= »#000000″ data_overlay_opacity= »50″ data_padding_top= »0″ data_padding_bottom= »50″][cmsms_column data_width= »3/4″][cmsms_button button_link= »https://elus-rhonealpes.eelv.fr/2014/06/19/trame-verte-et-bleue/ » button_target= »blank » button_text_align= »center » button_font_size= »30″ button_font_weight= »200″ button_font_style= »normal » button_padding_hor= »20″ button_border_width= »1″ button_border_radius= »0″ button_bg_color= »#ffffff » button_text_color= »#6fb500″ button_border_color= »#6fb500″ button_bg_color_h= »#ffffff » button_text_color_h= »#6fb500″ button_border_color_h= »#6fb500″ animation_delay= »0″]Une trame verte et bleue relie désormais les espaces protégés en Rhône-Alpes[/cmsms_button]
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Les autoroutes, les grandes agglomérations et les vallées alpines urbanisées sont autant de barrages qui compartimentent la nature.
Et quand les milieux naturels ne peuvent plus communiquer, la faune et la flore sont isolées, le patrimoine génétique s’appauvrit et les espèces ne peuvent plus ni croître, ni s’adapter.
Or, depuis cent ans, on a protégé les espèces remarquables, on a créé des parcs et des réserves ici et là. Parallèlement, la Région gérait des contrats de rivière, des contrats de zones humides, des contrats de corridors, des contrats de biodiversité…
« Aujourd’hui, il est urgent de prendre de la hauteur en considérant la question de manière plus globale. On ne peut plus protéger la biodiversité milieu par milieu », estime Alain Chabrolle.
Récemment, la Région est devenue chef d’orchestre de la biodiversité. Alain Chabrolle a donc tout remis à plat grâce à une « trame verte et bleue » avec des zones préservées reliées entre elles par des « corridors biologiques », des couloirs de vie qui permettront aux espèces de circuler, d’échanger… Ils seront inscrits dans les plans locaux d’urbanisme.
Les écologistes ont aussi agi pour protéger les ressources naturelles dans leur ensemble : l’eau, le sol, l’air… Ils ont mis en place des dispositifs de lutte contre les pollutions néfastes aux espèces, contre les plantes invasives.
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[cmsms_button button_link= »https://elus-rhonealpes.eelv.fr/2011/10/14/kichwas-de-sarayaku-un-projet-pionnier-de-cooperation-base-sur-le-droit-des-peuples-autochtones/ » button_target= »blank » button_text_align= »center » button_font_size= »30″ button_font_weight= »200″ button_font_style= »normal » button_padding_hor= »20″ button_border_width= »1″ button_border_radius= »0″ button_bg_color= »#ffffff » button_text_color= »#6fb500″ button_border_color= »#6fb500″ button_bg_color_h= »#ffffff » button_text_color_h= »#6fb500″ button_border_color_h= »#6fb500″ animation_delay= »0″]Sarayaku : le peuple Kichwa soutenu dans sa résistance contre la déforestation[/cmsms_button]
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Pour les dernières communautés indiennes d’Amazonie, la déforestation représente la destruction de leur milieu de vie et la fin de leur culture.
Elle a également des conséquences sur l’ensemble de la planète. Car la forêt équatoriale est un formidable réservoir de biodiversité et de services écosystémiques : plantes médicinales, régulation climatique mondiale, stockage d’une grande quantité de carbone…
Une communauté indienne, celle du peuple originaire Kichwa de Sarayaku, a choisi de résister à l’avancée de la prospection pétrolière. Dans ce contexte, la région Rhône Alpes et le conseil de gouvernement de Sarayaku ont engagé une coopération. Elle porte sur la biodiversité, le développement durable et la protection des droits des peuples autochtones.
« Ce soutien montre notre attachement à la préservation d’un territoire qui contribue directement aux équilibres planétaires en matière de climat et de biodiversité et dont la pérennité ou la destruction, dit quelque chose de nous-mêmes », estime Véronique Moreira, vice-présidente déléguée à la coopération solidaire.
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La Région Rhône-Alpes participe au projet franco-suisse REXEAU pour gérer les risques liés à la renouée du Japon, plante invasive des berges des cours d’eau. Ce projet a pour objectif principal de développer des moyens durables de luttes contre ces plantes invasives et de communiquer sur les nouvelles techniques efficaces auprès des professionnels et du grand public.
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[cmsms_button button_link= »https://elus-rhonealpes.eelv.fr/2010/12/15/les-ecologistes-inscrivent-l%E2%80%99agriculture-biologique-au-rang-des-priorites-regionales/ » button_target= »blank » button_text_align= »center » button_font_size= »25″ button_font_weight= »100″ button_font_style= »normal » button_padding_hor= »20″ button_border_width= »1″ button_border_radius= »0″ button_bg_color= »#ffffff » button_text_color= »#004319″ button_border_color= »#004319″ button_bg_color_h= »#ffffff » button_text_color_h= »#004319″ button_border_color_h= »#004319″ animation_delay= »0″]Développer les filières bio et sans ogm[/cmsms_button]
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Dans le précédent mandat, les écologistes avaient obtenu que la Région s’engage pour un territoire sans OGM. Durant ce mandat, ils ont maintenu la pression sur cette question en suivant les évolutions de la réglementation.
C’est grâce au groupe EELV que l’agriculture biologique et l’emploi figurent parmi les quatre priorités de la politique agricole de la Région.
Il s’est aussi battu pour éviter une baisse du budget agricole, faisant ainsi en sorte que l’écologie soit l’alliée de l’agriculture et de l’emploi.
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La Dombes est la troisième grande région continentale de zones humides en Europe. C’est une étape pour de nombreux oiseaux migrateurs. Mais c’est aussi un lieu prisé par des groupes de pression qui défendent leurs propres intérêts.
La Dombes est dans l’orbite de Lyon. Ses villages, où la vie associative et sociale est riche, courent le risque de se transformer en cités-dortoirs.
Depuis 40 ans, les écologistes s’y battent contre la monoculture de maïs, la chasse mal gérée et l’urbanisation non maîtrisée.
Le Parc naturel actuellement en gestation est une chance pour créer une véritable concertation pour un développement urbain choisi, soucieux de développer l’économie locale et le lien social.
Il contribuera à retrouver une riche biodiversité, qui servira de base à d’autres activités : le tourisme, la pisciculture, l’agriculture paysanne…
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La Tourbière des Saisies – Beaufortain – Val d’Arly s’étend sur 300 hectares en Savoie, à plus de 1 500 m d’altitude. à l’initiative d’Alain Chabrolle, Rhône-Alpes y a créé sa treizième réserve naturelle et la première de Savoie. Sept habitats naturels d’intérêt prioritaire pour l’Europe et plus d’une centaine d’espèces patrimoniales y sont recensées.
C’est aussi le lac d’Aiguebelette, troisième plus grand lac naturel français, qui a été classé réserve naturelle avec sa végétation lacustre, sa ceinture de zones humides, son environnement de forêts montagnardes et de falaises.
Le statut de réserve naturelle régionale permet de renforcer la réglementation pour préserver la biodiversité.
Avec treize réserves, Rhône-Alpes est la troisième région française pour ses réserves naturelles. Ainsi, la région aura triplé sa surface protégée durant le mandat.
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Avant, le Gier était presque un égout. Grâce au contrat de rivière voulu par la Région, c’est maintenant une rivière naturelle où sont revenus les poissons, le castor et l’aigrette.
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