[cmsms_row data_width= »boxed » data_padding_left= »3″ data_padding_right= »3″ data_color= »default » data_bg_color= »#ffffff » data_bg_position= »top center » data_bg_repeat= »no-repeat » data_bg_attachment= »scroll » data_bg_size= »cover » data_bg_parallax_ratio= »0.5″ data_color_overlay= »#000000″ data_overlay_opacity= »50″ data_padding_top= »0″ data_padding_bottom= »50″][cmsms_column data_width= »1/1″][cmsms_heading type= »h1″ font_weight= »400″ font_style= »normal » text_align= »default » link= »Un mandat pour avancer… avec un frein bloqué » target= »self » custom_colors= »true » color= »#6fb500″ color_transparency= »100″ margin_top= »0″ margin_bottom= »20″ animation_delay= »0″]Un mandat pour avancer… avec un frein bloqué[/cmsms_heading][cmsms_text animation_delay= »0″]

Petit coup d’œil dans le rétroviseur. En 2010, les électeurs nous créditent de 17,8 % des suffrages, le meilleur score de France. Nous entrons en force au conseil régional avec 37 élus, plus que nous n’avions jamais été jusque-là. Un nombre important, mais insuffisant pour prendre la tête de la Région. Le groupe PS, avec 49 élus, nous devance encore nettement. Nous confions la présidence de la Région à Jean-Jack Queyranne.

Cependant, nous prenons un certain nombre de manettes. Au total, neuf postes de l’exécutif sur 25 nous échoient. Assez pour se mettre au travail, pour innover, et pour faire avancer des thématiques importantes. Pas assez pour changer durablement la manière de faire de la politique, ni pour vraiment lancer la transition écologique qui s’impose.

Nous l’avions dit, nous l’avons fait. Dans la mesure de ces moyens, nous avons mis en œuvre une grande partie de notre programme de 2010. Vous trouverez au fil de ces pages des dizaines de réalisations qui sont autant d’engagements tenus.

Pourtant, nous sommes restés tributaires du fonctionnement personnel d’un président crispé sur un vieux modèle de développement, imbu des réflexes présidentialistes de la Ve république. Un président capable d’octroyer 25 millions d’euros à une multinationale sans engagement en retour. Un président zélé pour promouvoir un projet Lyon-Turin à 26 milliards d’euros sans rapport avec les besoins réels du réseau ferroviaire. Tout cela sans jamais accorder la moindre vertu au débat démocratique.

Vous constaterez dans ces pages que nous avons avancé, mais le présidentialisme a agi comme un frein qui a contrarié notre progression. Pour mettre enfin le cap sur la transition écologique, face aux défis de l’avenir, nous devons être encore plus nombreux. Pour cela, nous aurons besoin de vous !

[/cmsms_text][cmsms_quotes mode= »grid » columns= »1″ animation_delay= »0″][cmsms_quote image= »1477|https://bilan-rhonealpes.eelv.fr/files/2015/03/jckAC.jpg|full » name= »Alexandra Cusey & Jean-Charles Kohlhaas » subtitle= »Co-présidents du groupe EELV et apparentés »]

Durant ce mandat parsemé d’obstacles, nous sommes fiers de ne pas avoir renoncé à mobiliser l’intelligence collective pour engager la région dans la transition écologique.

[/cmsms_quote][/cmsms_quotes][cmsms_heading type= »h2″ font_weight= »400″ font_style= »normal » text_align= »left » target= »self » margin_top= »0″ margin_bottom= »5″ animation_delay= »0″]Lire aussi :[/cmsms_heading]

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